Lorsque l’écoute du corps s’affine, nous constatons la mise au diapason de nos rythmes internes avec ceux de la nature.
Après l’intériorité de l’hiver, nous pouvons sentir l’élan du printemps monter en nous même comme la sève monte dans les arbres : l’énergie revient, et avec, l’envie de créer, s’activer, s’ouvrir au monde, accueillir le nouveau…
Sans racines, sans cadre, l’énergie puissante et tumultueuse du printemps peut nous embarquer dans de l’hyperactivité et de la dispersion, voire de l’épuisement.
Il s’agit de trouver la Voie du Milieu – comment se laisser fleurir et s’ouvrir sans se perdre.